- par Daniel Perrin et sa bande
- Durée env. 3h
- Tout public
- Tarif unique CHF 30.-
- Bal
Soirée combinée
Bal précédé de Mon père est une chanson de variété de Robert Sandoz à 19h
L’Orchestre Jaune, c’est 22 personnes réunies par Daniel Perrin, pianiste compositeur lausannois : musiciens, chanteurs, chanteuses, une section rythmique, des cuivres, des claviers, des guitares, un violon même, un accordéon parfois mais pas souvent. Une grande formation donc. L’Orchestre Jaune joue de la musique à danser, live. Pop music ? Beaucoup. Rythm’Blues ? Oh yeah. Chanson française ? À l’occasion. World music? Un peu. Ça chante et ça danse en anglais, en français, en italien, en espagnol, en serbe, en arabe, des hits inoxydables créés par d’illustres fantômes auxquels l’orchestre rend hommage : des Beatles à Police, de James Brown à Amy Winehouse, de Brassens à Nino Ferrer et aussi Tina Turner, Michel Jonasz, Joe Cocker, Sanseverino, et encore beaucoup d’autres. Des heures de répertoire à danser.
Du coup, malgré ses 27 ans d’âge, le Jaune a gardé sa fraîcheur, un beau jaune ambré comme un whisky bonifié par le temps. Du coup, les sorties de l’Orchestre ont tout de la réunion de famille. Sur scène comme dans la salle, on se retrouve, on ne s’est pas vu depuis longtemps, on constate que la tribu a évolué. De jeunes musiciens sont adoptés, des couples se font, se défont, se refont, les générations, les styles se mélangent, sur scène comme dans la salle. Pourquoi jaune, l’Orchestre ? On ne sait plus : une idée de Daniel Perrin, au début. C’est égal. De toute manière, à la fin du bal, il fait nuit noire, les couleurs, on ne les voit plus. Les musiciens rangent les instruments, les danseurs boivent un dernier verre, les musiciens aussi. Tout le monde est heureux et crevé. On a dansé comme des fous, on a joué comme des valeureux, on se reverra la prochaine fois, on verra bien où en sera la tribu, sur scène comme dans la salle. Pourvu qu’elle reste ouverte.